Ce type de vacances est de plus en plus prisé par les familles. Elles permettent d’apprendre aux enfants le respect de la nature et les bons gestes à avoir au quotidien. Ici, nous nous concentrons sur un guide publié par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) qui nous expliquent comment nous pouvons limiter notre empreinte carbone tout en profitant pleinement de nos vacances.
1. Vérifier que votre logement dispose d’un label écoresponsable
En effet, de plus en plus d’hôtels, de gîtes, de chambres d’hôtes et de campings mettent en place des actions pour limiter leurs impacts sur l’environnement. Toutefois, tous les labels ne se valent pas. Parmi ceux qui sont fiables et recommandés par l’ADEME, on trouve l’écolabel européen, écogîte, green globe certified, gîte panda, hôtels au naturel et la clef verte.
2. Faire attention à sa consommation d’eau
Comme nous le voyons dans l’actualité, les périodes de sécheresse deviennent de plus en plus fréquentes. L’eau est une ressource précieuse à laquelle il faut faire attention. En conséquence, il faut évitez les bains et privilégier les douches courtes. Par exemple, à l’hôtel, on ne demandera pas de changer sa serviette tous les jours.
3. Bien choisir son mode de déplacement
On va ainsi privilégier ce qu’on appelle «les mobilités bas-carbone» comme le train et, une fois sur place, les mobilités dites actives comme le vélo ou encore la marche à pied. Le transport à moteur thermique est une charge importante dans nos émissions de CO2.
4. Même en vacances, conserver les réflexes «économies d’énergies»
L’ADEME rappelle que la sobriété énergétique, ce n’est pas qu’en hiver. Par exemple, pour n’utiliser la climatisation qu’en dernier recours, il suffit d’aérer le logement aux heures les plus fraîches. Et quand elle fonctionne, ne pas ouvrir les fenêtres et penser à l’éteindre quand on quitte sa chambre.
5. Choisir des activités douces plutôt que motorisées et polluantes
Certaines activités peuvent déranger les animaux sauvages, comme le canyoning, le canoë-kayak, etc. et d’autres sont particulièrement polluantes comme le quad, le jet-ski, le ski-nautique ou l’ULM. Les plus écologiques sont la randonnée, le vélo, l’accrobranche ou encore la voile. Mais, là encore, on fera attention à ne pas perturber la biodiversité. Afin de la préserver, on se gardera d’aller au même endroit que la plupart des autres touristes et, surtout, au même moment. Enfin, on veillera à collecter ses déchets et les jeter dans les poubelles appropriées.