Penser à son testament est simplement signe qu’on veut préparer le futur de nos proches au mieux et que nos volontés soient respectées. Et il n’y a pas de bon ou mauvais moment pour cela car, comme on le voit trop souvent, dans l’actualité mais aussi dans notre entourage parfois, on ne sait jamais quand on va partir. C’est pourquoi un testament peut être réalisé à tout moment de sa vie.
De son vivant, peut-on faire des dons à nos enfants?
Oui, tous les 15 ans, on peut donner jusqu’à 100 000 € de biens immobiliers ou en numéraire à chacun de ses enfants et jusqu’à 31 865 € à chacun de ses petits-enfants sans avoir à payer d’impôts. De même, tous les 15 ans, chaque parent peut faire un don manuel et offrir à chacun de ses enfants majeurs jusqu’à 31865 € en liquide (en une ou plusieurs fois) sans que cette somme soit imposée par le fisc ou qualifiée de donation.
Faut-il nommer un tuteur pour ses enfants?
Dans la mesure où l’on voudrait choisir un tuteur pour son enfant, cela se fait dès la naissance de celui-ci. Il faudra toutefois faire un testament ou une déclaration devant notaire. Il s’agit alors de désigner une personne particulièrement aimée de ses enfants, afin de leur assurer une sécurité affective en cas de besoin. Dans le cas contraire, c’est le juge des tutelles qui, après constitution d’un conseil de famille, décidera de leur sort.
La rédaction du testament
Pour la plupart des professionnels du droit, le bon moment pour rédiger un testament ou faire une donation au dernier vivant, c’est dès le mariage ou dès la naissance du premier enfant s’il est né hors mariage. En cas de décès et si aucun contrat de mariage, testament ou donation n’a été fait jusque là, le régime légal s’applique automatiquement. Le conjoint survivant n’héritera que du quart des biens en pleine propriété ou de la moitié s’il n’y a pas d’enfants. Alors qu’avec la donation au dernier vivant, il peut opter soit pour la totalité des biens en usufruit, c’est à dire le droit de jouissance du bien et droits aux revenus qu’ils produisent, ou, en fonction de la présence ou non d’enfants ou d’ascendants, à 1/4 des biens en pleine propriété au minimum.
TESTAMENT . Je ne suis pas d’accord avec la pensée française . Quand vous avez vécu nombres d’années avec la même personne qui on contribué au bon fonctionnement du foyer , il est impensable que le TESTAMENT soit divisé . Il doit revenir à la personne vivante et en faire ce qu’elle ou qu’il veut . Je suis français et habite au Québec , Because testament . La politique française est très conservatrice . !……….. Arevoir .
votre vocabulaire est aussi claire que celui du notaire